C’est donc la « Présence » qui accompagne chaque homme qui est outragée, c’est elle qui est offensée, c’est elle qui est méprisée, c’est elle qui est humiliée. Rabbi Méir rappelle à notre souvenir, quand un homme souffre que dit la Ché’hina ? J’en subi les tourments, ma tête est douloureuse mes bras sont meurtris….Sanhédrin 46a.