Le mot Séliha est le pardon sur la faute elle-même alors que Méhila revient sur l’outrage envers le Roi. Chaque fois que l’on transgresse une Mitsva on commet aussi un crime de lèse- majesté. La faute est commise par inadvertance, l’outrage est considéré comme involontaire. Le péché est intentionnel, il engendre le pardon. Le mot Multiplier a le sens d’amplifier, plus nous commettons des fautes et des outrages et plus le pardon se développe.
Il accorde les bienfaits à toute chair et âme. Il ne les rétribue pas selon leur méfait. AHM-SELIHOTS-II-EL-MELEKH-YOCHEVTélécharger
Il accorde les bienfaits à toute chair et âme. Il ne les rétribue pas selon leur méfait. AHM-SELIHOTS-II-EL-MELEKH-YOCHEVTélécharger