Les sons du Chofar sont les éléments du souffle de vie insufflés dans les narines d’Adam. Les sons sont de deux sortes, les sons continus dont la puissance croie de plus en plus ils expriment La Volonté de donner la vie, l’amour absolu se sont les Téki’ot. Ils expriment l’espoir que nous mettons dans le créateur et Son Pouvoir de diriger le monde en dehors de la justice et du mérite, son Unité. Les Térou’ot qui sont des sons coupés, Chévarim Térou’a, expriment le manque de force des lumières qui n’arrivent pas à se maintenir comme une flamme qui vacille avant de s’éteindre, de la viennent les difficultés du monde matériel. Les lumières se rependent petit à petit, elles illuminent et s’interrompent puis elles reprennent et s’interrompent à nouveau. Ils expriment nos limites, nos difficultés notre fragilité, nous voulons nous attacher à Lui pour éliminer le mensonge, le mot attache et le mot mensonge ont les même lettres : שקר קשר.